La Lettre D, comme décoder. Chaque dimanche, le décryptage d'un sujet politique ou économique
Nos députés veulent nous ruiner. Poutine, avec son nouveau système d’arme, veut nous vassaliser. Trump veut bloquer nos exportations. Dans ces conditions, comment sauver un bout d’une épargne durement gagnée ? Les cryptomonnaies s’imposent !
La démocratie suppose la possibilité du changement. Mais les peuples, et leurs entreprises, ont besoin de continuité et de visibilité. Cette apparente contradiction peut être résolue. Par des réformes institutionnelles. Qui supposent un consensus. Donc, en France, ce n’est pas pour demain…
Après la victoire éclatante de Donald Trump le 5 novembre, le futur président américain ne détient pas tous les pouvoirs, contrairement à ce qui est souvent dit. Car les Etats-Unis est une fédérations d'Etats. Et le peuple retourne aux urnes tous les deux ans. La Suisse fait encore mieux… La France fait sur ce plan beaucoup moins bien…
N’étant pas électeur américain, je vais essayer d’évaluer les conséquences possibles, pour un citoyen de France, d’Europe ou d’Occident, de l’élection, le mardi 5 novembre 2024, du 47eme président des Etats-Unis.
En France, l'évènement principal de la semaine est sans doute constitué à la fois par ce qui ressemble à une forte recrudescence des violences liées aux trafics de drogue, et à la réaction guerrière du ministre de l'Intérieur.
L’explosion démographique mondiale est presque toujours le chaînon manquant à la compréhension de l’histoire et de l’actualité.
Avec des fonds de pension, où serait gérée à long terme une partie des cotisations sociales de retraite, l'argent épargné servirait à racheter les entreprises françaises rentables qui, les unes après les autres, tombent dans l'escarcelle des portefeuilles des sociétés financières américaines.
Il y a des moments où les simples citoyens semblent mieux connaître les règles élémentaires de l’économie que leurs dirigeants.
Michel Barnier n'aura pas de majorité pour approuver, mardi prochain, sa déclaration de politique générale. Mais il y a peu de chances qu'une motion de défiance puisse être adoptée...
Les urgences - politiques, économiques et sociales - du nouveau gouvernement sont bien identifiées. Mais une autre vient de passer en tête : maintenir l'ordre dans nos départements et territoires d'outre-mer, et déterminer l'avenir de la Nouvelle-Calédonie.