N’étant pas électeur américain, je vais essayer d’évaluer les conséquences possibles, pour un citoyen de France, d’Europe ou d’Occident, de l’élection, le mardi 5 novembre 2024, du 47eme président des Etats-Unis.
Cette semaine, cette publication ne comporte qu’une seule partie : un long édito sur une appéciation, à date, des conséquences de l’élection de Donald Trump.
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Résumé :
Donald Trump arrive au pourvoir, pour un deuxième mandat, 45 ans après le premier mandat de Ronald Reagan. Ils sont nés avec 35 ans d’écart : 1911 et 1946.
Reagan a marqué une nouvelle ère pour l’Amérique et pour le monde. Trump, avec un projet different, veut en faire autant.
Pour un américain, le futur président, est sans doute “pro-life, pro-god, pro-gun“. Il est surtout “pro-business“ !
Sur les cinq deniers jours, l’indice boursier de New York a grimpé de 5%. Celui de la bourse de Paris a perdu 1%… Cette distorsion va-telle continuer ? (Depuis la funeste dissolution de M. Macron, elle est déjà de 13%…)
Au-delà de l’économie, la révolution promise concerne d’abord la liberté d’expression (“free speech“), et une forme concrète d’application du principe de subsidiarité, qui, logiquement, mène à la responsabilité des individus, d’abord sur eux-mêmes, et accessoirement sur les pouvoirs délégués des citoyens à des entités publiques.
C’est le retour à quelques conceptions classiques et anciennes de l’organisation sociale : “L’Amérique d’abord“, “la souveraineté appartient au peuple“, “Tout ce qui n’est pas interdit est permis“, “les contraintes doivent être limitées au minimum nécessaire“…
Simple, mais décoiffant !
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