L'attaque israélienne de l'Iran dans la nuit du 13 au 14 juin était prévisible. L'entrée en action d'une l'armada américaine cette nuit du 21 au 22 juin l'était aussi. Quant aux conséquences, elles sont à la fois certaines, et pour l'instant incalculables.
Disposer de talents, de ressources énergétiques, de terres rares ou d'épargne est une chose ; savoir les exploiter pour développer l'économie d'un pays, ou accroître le patrimoine d'un particulier en est une autre, encore plus importante.
L'endettement mondial des Etats du monde entier aura forcément des limites. Ce jour-là, ce sera la panique financière. Les épargnants, attentifs à leur patrimoine, pour eux mêmes ou leurs enfants, doivent dès maintenant en tenir compte.
Ce qu'il convient de changer en France, au plan du fonctionnement des institutions politiques, est moins de l'ordre constitutionnel que de la pratique politicienne, qui n'a cessé de se dévoyer, depuis cinquante ans.
Avec Léon XIV, le Conclave a choisi un pape différent de tous ses prédécesseurs. Pour redresser la France, en 2027, il nous faudrait un nouveau Cincinnatus. Et aller le chercher sans doute hors de la sphère politique.
Avec son art consommé de mettre les pieds dans le plat, Donald Trump a souligné les faiblesses (relatives) de l’économie américaine, et poussé le monde vers la récession, via la réduction des échanges commerciaux internationaux.
L'excès de dettes est le fait de tous les agents économiques : les ménages, les entreprises, et tout spécialement les Etats. Après avoir stimulé la croissance, maintenant il la freine . A cet égard, les trois prochaines années seront celles de tous les dangers.
Au-delà de l'épisode actuel, les Etats-Unis continueront à attirer talents et capitaux. Sauf si, en France, une contre-révolution abolit l'égalitarisme. Comme Trump réduit sous nos yeux le wokisme outre-Atlantique.
Les droits de douane “réciproques“, annoncés par Donald Trump le 2 avril, ont provoqué un tremblement de terre financier. L’inéligibilité de Marine Le Pen, prononcée par le Tribunal correctionnel de Paris, le 31 mars, marque un tournant dans l’histoire politique française.